The song began from Jove,
Who left his blissful
seats above
(Such is the pow’r of
mighty Love).
A Dragon’s fiery form
bely’d the God ;
Sublime on radiant
spires he rode,
When he to fair
Olympia press’d ;
And while he sought
her snowy breast,
Then round her slender
waist he curl’d,
And stamp’d an image
of himself, a Sov’reign of the world.
The list’ning crowd
admire the lofty sound :
“A present
Deity !” they shout around
“A present
Deity !” the vaulted roofs rebound.
Soprano.
Il commença par chanter Jupiter
Quittant son heureux séjour d’en-haut
(Si fort est le pouvoir de l’Amour).
Sous la forme trompeuse d’un ardent Dragon, le dieu
Traça son cours sublime en spirales de feu,
Pour se hâter de joindre la belle Olympia ;
Et tandis qu’il soupirait sur son sein de neige,
Il s’enroula autour de ce corps svelte
Lui imprima sa propre image, Souverain de l’univers.
Chœur.
Ce chant en impose aux auditeurs en foule.
“Un dieu est là !” s’écrient-ils à l’entour.
“Un dieu est là !” répond le haut des voûtes.
Pour écouter la musique correspondante par Harnoncourt en concert (avec Dorothea Röschmann, le Chœur Arnold Schönberg et le Concentus Musicus), cliquer ICI et puis LÀ pour l’air de soprano :
With ravish’d ears
The monarch hears,
Assumes the God,
Affects the nod,
And seems to shake the
spheres.
Captivé, ravi,
Le monarque est tout ouïe,
D’un dieu il prend l’allure,
Un seul mouvement de sa tête
Semble faire trembler les sphères.
Haendel / Dryden, Alexander’s Feast (1736)
Ah, voilà!
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